Si vous rêvez de devenir animateur ou animatrice, le BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur) est souvent le premier pas. Mais soyons honnêtes : entre la formation de base, le stage d’approfondissement et les frais annexes, ça peut vite coûter cher. Bonne nouvelle : il existe des solutions pour le financer, voire le passer carrément gratuitement ! Voici un petit tour d’horizon des astuces et aides à connaître.
Le constat : des aides financières non négligeables
D’abord, parlons chiffres. Aujourd’hui, en février 2025, les aides de la CAF (Caisse d’Allocations Familiales) peuvent vraiment faire la différence quelque soit le montant de vos ressources. Elles peuvent rembourser jusqu’à 40 % des frais de vos stages de base et d’approfondissement. Cerise sur le gâteau : la CNAF (Caisse Nationale des Allocations Familiales) peut proposer une aide supplémentaire de 200 €. Pas mal, non ? Mais ce n’est pas tout. Avec un peu de débrouillardise, vous pouvez même viser le zéro euro déboursé. Voici comment.
1. Les mouvements de scoutisme : un financement contre un engagement
Si vous êtes prêt à vous investir, des organisations comme les Éclaireuses et Éclaireurs de France (ou d’autres mouvements scouts) peuvent financer votre BAFA. En échange, ils vous demanderont de donner un coup de main dans leurs groupes, par exemple en animant des activités pour les plus jeunes. C’est du gagnant-gagnant : vous obtenez votre diplôme gratuitement tout en vivant une expérience humaine enrichissante.
2. Travailler en accueil de loisirs et se faire financer
Une autre option ? Postulez dans un accueil de loisirs ou une colo, même sans diplôme. Certains employeurs acceptent de prendre en charge le coût de votre BAFA si vous vous engagez à travailler pour eux ensuite. Vous gagnez un salaire, vous apprenez sur le terrain et vous repartez avec votre brevet en poche. Ça demande un peu de motivation, mais ça vaut le coup !
3. Les initiatives locales : com com, agglo et assos à la rescousse
De plus en plus de communes, communautés de communes ou d’agglomérations mettent en place des opérations pour financer le BAFA. Parfois, des associations locales s’y mettent aussi. Le deal est simple : ils payent votre formation, et en retour, vous travaillez pour eux pendant un certain temps (souvent l’été ou pendant les vacances). Renseignez-vous auprès de votre mairie ou sur les réseaux, ces opportunités sont en plein boom !
4. Le coup de pouce du CE de vos parents
Si vos parents travaillent dans une entreprise avec un bon Comité d’Entreprise (CE), jackpot ! Certains CE proposent des prises en charge partielles, voire totales, du BAFA. Ça ne coûte rien de demander – au pire, vous aurez une réponse, au mieux, une formation financée.
Alors, pourquoi attendre ?
Aujourd’hui, les moyens de financer son BAFA sont plus nombreux que jamais. Entre les aides de la CAF, les employeurs, les initiatives locales et les coups de pouce familiaux, il y a forcément une solution qui vous correspond. Alors, lancez-vous ! Et pour maximiser vos chances de décrocher un job ensuite, n’oubliez pas de créer votre profil sur Jobanim.com. Cette plateforme est faite pour vous accompagner dans votre recherche d’emploi tout au long de votre parcours d’animateur.
Le BAFA, c’est bien plus qu’un diplôme : c’est une porte ouverte vers des expériences incroyables et des rencontres inoubliables. Foncez, vous ne le regretterez pas !
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